Détail de l'auteur
Auteur Jean Giono |
Documents disponibles écrits par cet auteur (31)
Affiner la recherche Interroger des sources externes
document projeté ou vidéo
Raoul Ruiz, Metteur en scène, réalisateur ; Jean Giono, Auteur ; Laetitia Casta, Acteur ; Frédéric Diefenthal, Acteur ; Arielle Dombasle?, Acteur ; John Malkovich, Acteur | France Télévision Distribution | 2001Au XIXème siècle, une jeune fille de la Drôme, Thérèse, s'enfuit de sa campagne avec son fiancé Firmin. En ville, elle découvre qu'elle a du pouvoir sur les autres et qu'elle est une âme forte. Thérèse rencontre la mystérieuse et élégante Mme N[...]texte imprimé
"Elle était à ce moment-là, de beaucoup et de loin, la plus belle femme de Châtillon, et même d'ailleurs certainement. Quelqu'un qui l'a bien connue à ce moment-là me disait :"Elle était belle comme ce marteau, vois-tu !". Et il me montrait le m[...]texte imprimé
Angelo, le héros du Hussard sur le toit, part de Turin après avoir fort joliment tué d'un coup de sabre M. le baron Schwartz, espion autrichien. Il passe la frontière en grand uniforme de colonel des hussards de Sardaigne, sur un cheval admirabl[...]texte imprimé
«- Toute la côte de Verneresse s'effondre. Tout le dessus de Sourdie s'effondre. Tout le flanc de Chènerilles. La terre est comme du lard. Les forêts se replient dans la terre. L'eau fume le long des rochers. Les pierres coulent comme des fontai[...]texte imprimé
À la Buvette du Piémont, un vieux journalier est attiré par un grand gars qui paraît affreusement triste ; il provoque ses confidences : Albin vient de la montagne, de Baumugnes. Trois ans auparavant, il était tombé amoureux fou d'une fille qui [...]texte imprimé
Le Bonheur fou, c'est celui qu'éprouve Angelo Pardi, le héros du Hussard sur le toit, à faire la révolution italienne en 1848. Angelo se promène à travers la révolution comme il se promenait naguère à travers le choléra de Provence. La guerre - [...]texte imprimé
Le matin fleurissait comme un sureau. Antonio était frais et plus grand que nature, une nouvelle jeunesse le gonflait de feuillages. -Voilà qu'il a passé l'époque de verdure, se dit-il. Il entendait dans sa main la truite en train de mourir ; Sa[...]texte imprimé
Dans cette ultime chronique qu'il a écrite pour les journaux, Jean Giono jongle avec le présent et le passé : le moindre incident fait jaillir, comme une source intarissable, des souvenirs, des histoires, des personnages. Ces textes, datés des a[...]texte imprimé
Seulement, ce soir-là, il ne fumait pas un cigare : il fumait une cartouche de dynamite. Ce que Delphine et Saucisse regardèrent comme d'habitude, la petite brise, le petit fanal de voiture, c'était le grésillement de la mèche. Et il y eut, au f[...]texte imprimé
Il y a de petites places désertes où, dès que j'arrive, en plein été, au gros du soleil, Œdipe, les yeux crevés, apparaît sur le seuil et se met à beugler. Il y a des ruelles, si je m'y promène tard, un soir de mai, dans l'odeur des Lilas, j'y v[...]texte imprimé
Cỏ Hồi Sinh là tập cuối của tiểu thuyết bộ ba về Pan. Câu chuyện hơi khác thường nhưng đơn giản. Ở một làng nọ, do thiên nhiên khắc nghiệt, mọi người bỏ đi hết. Một nông dân trẻ ở lại. Anh không thể rời xa mảnh đất mà mẹ anh đã gắn bó vô cùng. T[...]texte imprimé
Jean Giono ; Anne-Marie Marina-Mediavilla, Préfacier, etc. | Paris : Librairie générale française | Le livre de poche | 1998Un débris de hameau où quatre maisons fleuries d'orchis émergent de blés drus et hauts. Ce sont les Bastides Blanches, à mi-chemin entre la plaine et le grand désert lavandier, à l'ombre des monts de Lure. C'est là que vivent douze personnes, de[...]texte imprimé
Il y a un siècle, un Français réfugié dans les montagnes du Valais, y créait de merveilleuses images religieuses dans la tradition populaire. Qui était-il ? On ne sait. On racontait que c'était un soldat qui avait tué son capitaine, ou qu'il ava[...]texte imprimé
Ils se jetèrent l'un contre l'autre. En échappant aux bras, Mon Cadet frotta sa tête contre la poitrine de Marceau. Il entendit de nouveau les furieux coups sourds. Il comprit que c'était le cœur de son frère ; il se sentait, lui, propre, net, s[...]texte imprimé
Le visage était sympathique, malgré la perte de toutes ses dents, ses lèvres étaient assez charnues pour rester épanouies. Elle avait un joli teint frais et rose, ses yeux marron étaient très purs, sans rides ni cernes, avec de longs cils courbe[...]